La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°91)

Partie : Préface, chapitre I

Dieu m'est témoin, continua-t-il, que je n'envie et que je ne déteste personne. Mais, si nous triomphons, il faudra que je leur dise leur fait, à ces beaux messieurs. C'est l'oncle Antoine qui en sait long là-dessus. Tu verras à notre retour. Nous vivrons tous libres et heureux. Miette l'entraîna doucement. Ils se remirent à marcher.

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