La Fortune des Rougon
La Fortune des Rougon (paragraphe n°903)
Partie : Préface, chapitre V
Et ils allaient, dans le silence du sentier, entre le tas de planches et le mur du Jas-Meiffren. Jamais ils ne dépassaient le bout de ce cul-de-sac étroit, revenant sur leurs pas, à chaque fois. Ils étaient chez eux. Souvent, Miette, heureuse de se sentir si bien cachée, s'arrêtait et se complimentait de sa découverte :