La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°836)

Partie : Préface, chapitre V

Silvère, que les plaisanteries et les injures grossières des ouvriers avaient glacé, sentit des larmes lui monter aux yeux à cette dernière parole de Vian. D'ailleurs, il n'ouvrit pas les lèvres. Il reprit son marteau, qu'il avait posé auprès de lui, et se mit à taper de toutes ses forces sur le moyeu d'une roue qu'il ferrait.

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