La Fortune des Rougon
La Fortune des Rougon (paragraphe n°630)
Partie : Préface, chapitre IV
Si ces misérables nous ont dépouillés, tant pis pour eux ! Je ne veux pas de leur argent. Voyez-vous, mon oncle, ce n'est pas à nous qu'il appartient de frapper notre famille. Ils ont mal agi, ils seront terriblement punis un jour.