La Fortune des Rougon
La Fortune des Rougon (paragraphe n°603)
Partie : Préface, chapitre IV
Gervaise et Jean baissaient le nez dans leur assiette, n'osant plus se couper du pain. Silvère, vivant au ciel dans son rêve, ne se rendait nullement compte de la situation. Il prononçait d'une voix tranquille ces paroles grosses d'orage :