La Fortune des Rougon
La Fortune des Rougon (paragraphe n°557)
Partie : Préface, chapitre IV
A chaque vêtement, à chaque paire de souliers que Fine leur achetait, il restait maussade pour plusieurs jours. Ah ! s'il avait su, il n'aurait jamais eu cette marmaille qui le forçait à ne plus fumer que quatre sous de tabac par jour, et qui ramenait par trop souvent, au dîner, des ragoûts de pomme de terre, un plat qu'il méprisait profondément.