La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°533)

Partie : Préface, chapitre IV

Cette offre brusque de cent francs éblouit le camarade d'Antoine. Il regarda ce dernier d'un air ravi qui signifiait clairement : " Du moment que le bourgeois offre cent francs, il n'y a plus de sottises à lui dire. " MaisAntoine entendait spéculer sur les bonnes dispositions de son frère. Il lui demanda s'il se moquait de lui ; c'était sa part, dix mille francs, qu'il exigeait.

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