La Fortune des Rougon
La Fortune des Rougon (paragraphe n°1641)
Partie : Préface, chapitre VII
Et comme le misérable, grelottant, pleurant de terreur, ne comprenant pas pourquoi il allait mourir, tendait ses mains tremblantes, ses pauvres mains de travailleur déformées et durcies, en disant dans son patoisqu'il n'avait rien fait, qu'il fallait lui pardonner, le borgne s'impatienta de ne pouvoir lui appliquer la gueule du pistolet sur la tempe, tant il remuait.