La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1608)

Partie : Préface, chapitre VII

Mais les soldats étaient las de tuer ; aucun ne se présenta pour la sinistre besogne. Les prisonniers, jetés sur les poutres du chantier comme sur un lit de camp, liés par les poings, deux à deux, écoutaient, attendaient, dans une stupeur lasse et résignée.

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