La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1465)

Partie : Préface, chapitre VI

Il ricanait, il était tout brûlant d'une joie fauve. L'argent qu'il avait en poche, la trahison qu'il préparait, la certitude de s'être vendu un bon prix, l'emplissaient du contentement des gens mauvais qui redeviennent naturellement joyeux et railleurs dans le mal. Tante Dide n'entendit que le nom de Silvère.

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