La Fortune des Rougon
La Fortune des Rougon (paragraphe n°1318)
Partie : Préface, chapitre VI
Tant mieux, tu me conteras cela, n'est-ce pas ? Ah ! je dois me confesser, j'ai fait une peur affreuse, l'autre nuit, à ton mari et à ses collègues. Si tu avais vu comme ils étaient drôles sur la terrasse, pendant que je leur faisais voir une bande d'insurgés dans chaque bouquet de la vallée !... Tu me pardonnes ?