La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1180)

Partie : Préface, chapitre VI

Je vous remercie bien, monsieur, répondit Rengade, mais, voyez-vous, ce qui me soulagerait mieux que tous les remèdes, ce serait de tordre le cou au misérable qui m'a crevé l'œil. Oh ! je le reconnaîtrai ; c'est un petit maigre, pâlot, tout jeune...

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