La Fortune des Rougon
La Fortune des Rougon (paragraphe n°1143)
Partie : Préface, chapitre VI
Cependant Rougon et ses deux lieutenants dirent qu'ils étaient attendus à la mairie. Il se fit un silence respectueux ; on se salua avec des sourires graves.Granoux crevait d'importance ; lui seul avait vu l'insurgé presser la détente et casser la glace ; cela le grandissait, le faisait éclater dans sa peau. En quittant le salon, il prit le bras de Roudier, d'un air de grand capitaine brisé de fatigue, en murmurant :