La Faute de l'Abbé Mouret
La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°350)
Partie : Livre 1, chapitre IX
Hein ! si tu n'avais que des paroissiens comme cet animal de Jeanbernat, tu n'aurais pas souvent à te déranger. Enfin, c'est toi qui as voulu venir... Et porte-toi bien. Au moindre bobo, de nuit ou de jour, envoie-moi chercher. Tu sais que je soigne toute la famille pour rien... Adieu, mon garçon.