La Faute de l'Abbé Mouret
La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1912)
Partie : Livre 3, chapitre XII
Qu'as-tu ? Tu ne m'as pas baisé sur les joues comme autrefois, tu sais, lorsque tes lèvres chantaient... Va, si tu es souffrant, je te guérirai encore. Maintenant que tu es là, nous allons recommencer notre bonheur. Il n'y a plus de tristesse... Tu vois, je souris. Il faut sourire, Serge.