La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1794)

Partie : Livre 3, chapitre VIII

Tu es fou, murmura-t-elle. Garde tes prières. C'est toi que je veux... Jamais tu ne comprendras. J'avais tant de choses à te dire ! Et tu es là, à me mettre toujours encolère, avec tes histoires de l'autre monde... Voyons, soyons raisonnables tous les deux. Attendons d'être plus calmes. Nous causerons encore... Il n'est pas possible que je m'en aille comme ça. Je ne peux te laisser ici. C'est parce que tu es ici que tu es comme mort, la peau si froide, que je n'ose te toucher... Ne parlons plus. Attendons.

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