La Faute de l'Abbé Mouret
La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1535)
Partie : Livre 3, chapitre IV
Après, murmura-t-elle, ça serait un péché, pardi !... L'autel est comme une de ces tombes qu'on abandonne dans les cimetières. Sans moi, les araignées y feraient leurs toiles, la mousse y pousserait. De temps en temps, quand je peux mettre un bouquet de côté, je ledonne à la Vierge... Toutes les fleurs de notre jardin étaient pour elle, autrefois.