La Faute de l'Abbé Mouret
La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1122)
Partie : Livre 2, chapitre XI
Lorsqu'ils traversèrent le parterre, ils marchèrent dans un parfum extraordinairement doux, ce parfum que les fleurs ont la nuit, plus alangui, plus caressant, qui est comme la respiration même de leur sommeil.