La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1030)

Partie : Livre 2, chapitre X

Il s'allongea ainsi qu'elle le lui ordonnait. Tous deux se tenaient très raides, se touchant des épaules aux pieds, les mains vides, rejetées en arrière, par-dessus leurs têtes. C'étaient surtout leurs mains qui les embarrassaient. Ils conservaient une gravité convaincue. Ils regardaient en l'air, de leurs yeux grands ouverts, disant qu'ils dormaient et qu'ils étaient bien.

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