La Débâcle
La Débâcle (paragraphe n°948)
Partie : PREMIERE PARTIE, chapitre VIII
Vraiment, mon pauvre ami, tu n'as pas le réveil gai... Mais puisque tout cela est effacé, oublié ! Ne fais-tu pas maintenant ton devoir de bon Français ? Depuis que tu t'es engagé, je suis très fière de toi, je t'assure.