La Débâcle
La Débâcle (paragraphe n°833)
Partie : PREMIERE PARTIE, chapitre VII
Je sais bien que vous ne voulez pas mentir, et c'est pour ça que je crois ce qu'il y a sur le papier... Oui, maintenant, je le crois tout à fait... Vous avez eu raison de penser que, si j'étais mort à la guerre, sans vous revoir, ça m'aurait fait une grosse peine, de m'en aller ainsi, en me disant que vous ne m'aimiez pas... Et, alors, puisque vous m'aimez toujours, puisque vous n'avez jamais aimé que moi...