La Débâcle
La Débâcle (paragraphe n°830)
Partie : PREMIERE PARTIE, chapitre VII
Le silence recommença, tous les deux à présent avaient les yeux dans les yeux ; et, au loin, par la vallée obscure, les souffles de foule montaient plus larges, tandis que le roulement des canons, sur le pont de bateaux, se prolongeait sans fin. Il y eut un grand cri, un cri perdu d'homme ou de bête, qui traversa les ténèbres, avec une infinie pitié.