La Débâcle
La Débâcle (paragraphe n°3204)
Chapitre VIII
Son frère, mon Dieu ! son Maurice adoré par-delà la naissance, qui était un autre elle-même, qu'elle avait élevé, sauvé ! son unique tendresse, depuis qu'elle avait vu, à Bazeilles, contre un mur, le corps de son pauvre Weiss troué de balles ! La guerre achevait donc de lui prendre tout son cœur, elle resterait donc seule au monde, veuve et dépareillée, sans personne qui l'aimerait !