La Débâcle
La Débâcle (paragraphe n°291)
Partie : PREMIERE PARTIE, chapitre III
Mais il ne se pressait pas, conduisait à l'écurie les chevaux fumants, donnait surtout au sien un coup d'œil paternel. L'amour du cheval, pris sans doute dès l'enfance, quand il menait les bêtes au labour, lui avait fait choisir la cavalerie.