La Débâcle

La Débâcle (paragraphe n°282)

Partie : PREMIERE PARTIE, chapitre III

Mais, à ce moment, il y eut des rires, des cris de fille qu'on force et qui plaisante. C'était le lieutenant Rochas, qui, dans la vieille cuisine enfumée, égayée d'images d'Epinal, tenait entre ses bras la jolie servante, en troupier conquérant. Il parut sous la tonnelle, où il se fit servir un café ; et comme il avait entendu les dernières paroles de Coutard et de Picot, il intervint gaiement :

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