La Débâcle
La Débâcle (paragraphe n°2486)
Chapitre III
Jusque-là, Loubet n'avait rien dit. Son nez inquiet flairait le vent, ses yeux vifs de garçon adroit guettaient la minute favorable, dans sa résolution bien arrêtée de ne pas aller moisir en Allemagne. Il devait se fier à sesjambes et à sa malignité, qui l'avaient toujours tiré d'affaire. Et, brusquement, il se décida.