La Débâcle
La Débâcle (paragraphe n°1405)
Partie : DEUXIEME PARTIE, chapitre III
Elles coururent, se multiplièrent, ne furent plus que ses servantes. C'était un très bon choix que la fabrique pour une ambulance. Il y avait là surtout le séchoir, une immense salle fermée par de grands vitrages, où l'on pouvait installer aisément une centaine de lits ; et, à côté, se trouvait un hangar, sous lequel on allait être à merveille pour faire les opérations : une longue table venait d'y être apportée, la pompe n'était qu'à quelquespas, les petits blessés pourraient attendre sur la pelouse voisine. Puis, cela était vraiment agréable, ces beaux ormes séculaires qui donnaient une ombre délicieuse.