La Débâcle
La Débâcle (paragraphe n°1365)
Partie : DEUXIEME PARTIE, chapitre III
Sa chemise avait glissé, une de ses épaules était nue, d'une chair rose et fine, sous les mèches éparses de la noire chevelure ; tandis qu'une odeur pénétrante, une odeur d'amour s'exhalait de son réveil.