La Débâcle

La Débâcle (paragraphe n°1245)

Partie : DEUXIEME PARTIE, chapitre II

Et Maurice n'était pas allongé de nouveau, qu'un obus passa en sifflant. A partir de ce moment, ils ne cessèrent plus. Le tir ne se régla qu'avec lenteur, les premiers allèrent tomber bien au-delà de la batterie, qui, elle aussi, commençait à tirer. En outre, beaucoup de projectiles n'éclataient pas, amortis dans la terre molle ; et ce furent d'abord des plaisanteries sans fin sur la maladresse de ces sacrés mangeurs de choucroute.

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