La Curée
La Curée (paragraphe n°829)
Chapitre V
Tu es heureuse, chère enfant. Ça me fait bien plaisir de te voir belle et bien portante ; car, si ton mariage avait mal tourné, sais-tu que je me serais crue coupable ?... Ton mari t'aime, tu as tout ce qu'il te faut, n'est-ce pas ?