La Curée

La Curée (paragraphe n°728)

Chapitre IV

Renée écoutait complaisamment cette voix molle qui sortait de l'ombre, comme l'écho encore vague de ses propres songeries. Les paupières demi-closes, presque couchée dans son fauteuil, elle ne savait plus que madame Sidonie était là, elle croyait rêver que de mauvaises pensées lui venaient et la tentaient avec une grande douceur. La courtière parla longtemps, pareille à une eau tiède et monotone.

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