La Curée
La Curée (paragraphe n°537)
Chapitre IV
Mais c'est un remède, cette fille-là ! s'écria le jeune homme. Si j'avais le malheur de tomber jamais amoureux, tu me la prêterais, n'est-ce pas ? pour qu'elle mit ses deux mains sur mon cœur.
Le site des archives d'Emile Zola
La Curée
La Curée (paragraphe n°537)
Chapitre IV
Mais c'est un remède, cette fille-là ! s'écria le jeune homme. Si j'avais le malheur de tomber jamais amoureux, tu me la prêterais, n'est-ce pas ? pour qu'elle mit ses deux mains sur mon cœur.