La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°948)
Chapitre XI
Il serait mort sans une prière, comme un chien, si sa sœur n'était venue me prévenir, hier soir, vers onze heures. Elle a bien fait, la chère demoiselle... Il ne voulait compromettre aucun de nous, il n'aurait pas même reçu les derniers sacrements... Oui, mon ami, il était en train de mourir dans un coin, seul, abandonné, lui qui a eu une si belle intelligence et qui n'a vécu que pour le bien.