La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°788)
Chapitre IX
Non, non, je me connais ; je crie, mais ça n'avance à rien. Je suis faible comme un enfant, au fond... On atort de croire que j'ai toujours conduit ma femme à la baguette. Si elle a souvent fait ce que j'ai voulu, c'était parce qu'elle s'en moquait, que cela lui était indifférent de faire une chose ou une autre. Avec son air doux, elle est très entêtée... Enfin je tâcherai de la bien prendre.