La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°661)
Chapitre VII
Eh ! laissez-moi donc tranquille ! criait-il à ceux qui attaquaient l'abbé Faujas devant lui. Vous faites un tas d'histoires, vous allez chercher midi à quatorze heures, lorsqu'il est si aisé d'expliquer les choses simplement... Que diable ! je le sais sur le bout du doigt. Il me fait l'amitié de venir passer toutes ses soirées avec nous... Ah ! ce n'est pas un homme qui se prodigue, je comprends qu'on lui en veuille et qu'on l'accuse de fierté.