La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°622)
Chapitre VII
Puis, on causa de toutes sortes de choses. Il semblait que l'abbé Faujas eût perdu sa froideur triste. Il restait grave, mais d'une gravité obligeante, pleine de bonhomie. Il écouta Mouret, lui répondit sur les sujets les plus insignifiants, parut s'intéresser à ses commérages. Celui-ci en était venu à lui expliquer la façon dont il vivait :