La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°2506)
Chapitre XXIII
C'est la fin, continua-t-il à voix plus basse. Il y a longtemps que j'attends ce triste dénouement, je dois vous le confesser aujourd'hui. La pauvre madame Mouret avait les deux poumons attaqués, et la phtisie chez elle se compliquait d'une maladie nerveuse.