La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°2266)
Chapitre XX
Ne me touchez pas ! cria-t-elle en reculant. Je ne veux pas... Quand vous me tenez, je suis faible comme un enfant. La chaleur de vos mains m'emplit de lâcheté... Ce serait à recommencer demain ; car je ne puis plusvivre, voyez-vous, et vous ne m'apaisez que pour une heure.