La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°222)
Chapitre III
Voilà ce que je craignais, s'écria Mouret. J'aurais voulu être là ; car, enfin, les meubles sont ma garantie... Je savais bien que tu ne bougerais pas de ta chaise. Tu es une pauvre tête, ma bonne... Rose ! Rose !