La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°213)
Chapitre III
Cela acheva de mettre Mouret d'une exécrable humeur. Il déblatéra contre les prêtres : c'étaient tous des cachottiers ; ils étaient dans un tas de manigances, auxquelles le diable ne reconnaîtrait rien ; ils affectaient une pruderie ridicule, à ce point que personne n'avaitjamais vu un prêtre se débarbouiller. Il finit par se repentir d'avoir loué à cet abbé qu'il ne connaissait pas.