La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°1945)
Chapitre XVIII
Il n'y a plus d'amis, c'est parce que je suis pauvre qu'on me méprise... Toi, tu es un bon garçon. Tu viendras prendre le café avec nous, quand nous serons les maîtres. Si l'abbé nous gêne, nous l'enverrons rejoindre l'autre... Il n'est pas fort, l'abbé, malgré ses grands airs ; je lui fais voir les étoiles en plein midi... Tu es un ami, un vrai, n'est-ce pas ? Le Mouret est enfoncé, nous boirons son vin.