La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°1903)
Chapitre XVIII
Alors, le silence le plus profond régna. Mouret, ayant enjambé les buis, s'était agenouillé au milieu des salades. Il baissait la bougie, il cherchait le long des rigoles, sous les feuilles vertes étalées. De temps à autre, il avait un petit grognement ; il semblait écraser, enfoncer quelque chose en terre. Cela dura près d'une demi-heure.