La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1852)

Chapitre XVIII

Tu es un ange ! Si je n'étais pas là, tu te laisserais tuer sans pousser un soupir. Mais, sois tranquille, je veille sur toi, je prends mes précautions. Le jour où ton mari lèvera le petit doigt, il aura de mes nouvelles.

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