La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1767)

Chapitre XVII

Monsieur le curé, je suis une bien malheureuse mère, reprit madame Rougon en se lamentant plus haut ; je n'ai plus qu'une fille auprès de moi, et j'apprends qu'elle n'a pas assez de ses yeux pour pleurer... Je vous en supplie, vous qui vivez auprès d'elle, consolez-la, protégez-la.

?>