La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°1754)
Chapitre XVII
On ne peut pas savoir, reprenait un capitaine en retraite. J'ai connu un officier de mon régiment que sa femme souffletait pour un oui, pour un non. Cela duraitdepuis dix ans. Un jour, elle s'avisa de lui donner des coups de pied ; il devint furieux et faillit l'étrangler... Peut-être que Mouret n'aime pas non plus les coups de pied.