La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°1667)
Chapitre XVII
Je ne souffre pas, je suis trop heureuse, murmura-t-elle d'une voix faible comme un souffle. Laissez-moi pleurer, les larmes sont ma joie. Ah ! que vous êtes bon d'être venu ! Il y a longtemps que je vous attendais, que je vous appelais.