La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°1588)
Chapitre XVI
Pourquoi seraient-elles mal jugées ? répondit monsieur Rastoil. Nous n'allons pas à la sous-préfecture, nous sommes sur un terrain neutre... Puis, mon cher ami, il n'y a aucune cérémonie là-dedans. Je garde ma veste de toile. C'est de la vie privée. Personne n'a le droit de juger ce que je fais sur le derrière de ma maison... Sur le devant, c'est autre chose ; nous appartenons au public, sur le devant... Nous ne nous saluons seulement pas, monsieur Péqueur et moi dans les rues.