La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°1401)
Chapitre XV
Je suis prête à tout souffrir, ajouta-t-elle en sanglotant ; mais je donnerais ma tête, pour que mon frère ne fût pas compromis... Il a déjà trop fait pour nous ; je ne veux lui parler de rien, car il n'est pas riche, il se tourmenterait inutilement... Mon Dieu ! comment faire pour empêcher cet homme d'écrire ? Ce serait à mourir de honte, si une pareille lettre arrivait à la mairie et à l'évêché. Oui, je connais mon frère, il en mourrait.