La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°1389)
Chapitre XV
Je l'ai longtemps défendu, mais aujourd'hui je n'ai plus la force de me taire... Vous vous rappelez, lorsqu'il ne voulait pas que je misse seulement le pied dans la rue. Il m'enfermait, il usait de moi comme d'une chose. Maintenant, s'il se montre si dur, c'est qu'il voit bien que je lui ai échappé, et que je ne consentirai jamais plus àêtre sa bonne. C'est un homme sans religion, un égoïste, un mauvais cœur.