La Conquête de Plassans
La Conquête de Plassans (paragraphe n°123)
Chapitre II
La vieille dame ne s'assit pas. Comme Mouret se tournait, ne l'apercevant plus, il la vit plantée devant une des fenêtres entrebâillées du salon ; elle allongeait le cou, elle achevait son inspection, avec l'aisance tranquille d'une personne qui visite une propriété à vendre. Au moment où Rose soulevait la petite malle, elle rentra dans le vestibule, en disant simplement :